Pourquoi une mascotte?

Facilitateur de contacts par excellence, la mascotte est souvent fort appréciée des enfants et de leurs parents. Grâce à son aspect sympathique et à sa mine joviale, elle parvient aisément à se faire écouter et comprendre. Une mascotte retient l’attention, marque les esprits. Dans le cadre d’une institution telle que la Police, elle peut certainement faire plus facilement passer des messages car on ne l’aborde pas avec crainte, l’aspect parfois répressif du métier de policier est délaissé au profit d’un axe plus didactique.

De plus, la mascotte synthétise bien souvent les caractéristiques de la profession ou de l’entreprise qu’elle représente. C’est en tout cas ce que nous pensons dans le cas de l’animal que nous avons choisi, le renard. N’oublions pas non plus qu’en interne, la mascotte est un élément fédérateur, une image à laquelle tous les membres de notre Police pourront s’identifier et dans laquelle nous espérons qu’ils se reconnaîtront.

Le choix du renard

Après maintes réflexions et nombreuses discussions, notre choix s’est porté sur un animal parfois décrié bien que nécessaire au bon équilibre de la faune : le renard.
Nous avions bien entendu également envisagé une mascotte plus « humaine », ainsi que d’autres animaux tels que le chien ou le hibou mais le renard s’imposait car il revenait dans chacune de nos conversations.

Ses qualités

Même si ses qualités sont souvent occultées au profit de ses défauts (prédateur, parasite, …), le renard ne possède pas moins beaucoup de vertus :

•  Sociabilité : il apprécie de vivre en meute mais se débrouille également très bien.
•  Intelligence : ne dit-on pas que le renard est rusé, qu’il parvient à déjouer les pièges mais peut également en tendre ?
•  Acclimatation aisée : tant au niveau des climats que des changements d’habitat
•  Etc.

Des qualités qui peuvent se rapporter aux hommes et plus particulièrement à nos policiers. Ne font-il pas preuve de sociabilité lorsqu’ils aident les citoyens, les renseignent ? Lorsqu’ils travaillent en équipe (en patrouille ou lors d’interventions de grande envergure) ?
Ne savent-ils pas ruser lorsqu’il s’agit de mener des enquêtes, de monter des traquenards de façon à piéger des criminels ? Ne travaillent-ils pas en uniforme aussi bien qu’en civil en fonction des circonstances ?

Toutes ces « questions » ne font que renforcer notre opinion. Le renard est LA MASCOTTE de la Police Boraine !

Un nom pour notre mascotte

C’est à l’occasion du salon "Police et vous" qui se tenait du 20 au 22 mars 2008 à l'Espace Magnum de Colfontaine, était lancé un grand concours pour trouver le nom de notre renard.
Tous les visiteurs du salon étaient, dès leur arrivée et quelque soit leur âge, invités à participer à ce concours. Nous avons ainsi reçu pas moins de 125 propositions. Malheureusement pour tous ces participants, une seule d'entre elles a été retenue…
Il s'agit de la proposition faite par un petit garçon de 7ans, Gil VRAUX. Aux dires de sa maman, Gil est depuis son plus jeune âge, passionné par la police et tout ce qui s'en approche. C'est pourquoi, même si lui et sa famille ne résident pas sur le territoire de la Zone de Police Boraine, ils ne pouvaient manquer cet événement!

Un nom plein de signification

BORICE est désormais le nom de notre mascotte.
Il s'agit d'un mot-valise composé des mots: Borinage et Police. Mais plus que cela, ce nom peut-être exploité de différentes façons, les lettres qui le composent peuvent avoir des significations différentes selon que l'on communique en interne ou en externe.
Nous allons donc pouvoir nous triturer les méninges afin de trouver de nombreux acrostiches dont la signification variera en fonction des publics.

Exemple:

Quel avenir pour Borice?

Beaucoup de chemin a déjà été parcouru depuis la naissance de Borice. Il a déjà connu diverses déclinaisons et son évolution n’est pas là de s’arrêter puisque nous envisageons notamment la création d’un album de coloriage dans lequel Borice tiendrait le rôle principal …

Quelque photos

Notre Zone de Police a été pionnière en matière de vidéosurveillance : les premières caméras ont été installées sur la Place de Quaregnon et aux alentours, dans le cadre des rassemblements massifs de supporters à l’occasion de l’Euro 2000 de Football.

Notre réseau couvre désormais les 5 communes de la Zone, et sont un auxiliaire très efficace dans la lutte contre la criminalité, surtout dans une Zone qui, comme la nôtre, compte 104.000 habitants.

Ce matériel de pointe est utilisé notamment pour la gestion de problématiques diverses :

• Circulation : embouteillages, accidents, conduite dangereuse, stationnement gênant…
• Troubles de l’ordre public : manifestations, bagarres, rassemblements, ivresse,…
• Catastrophes : incendies, accidents graves,…
• Vols et les agressions.
• Identification des auteurs de délits de fuite.
• Dépôts sauvages.
• Infractions liées au Règlement Général de Police.
• …

La mise en place de cette technologie n’est cependant qu’un des pans de la politique de sécurité. En effet, la volonté est de maintenir un effectif suffisant sur le terrain.

La vidéosurveillance complète et appuie l’action des policiers, et correspond d’ailleurs pleinement à l’une des priorités de notre plan zonal, qui est la lutte contre la délinquance urbaine.

CENTRALE DE SURVEILLANCE

Cinq CALog (membres du personnel civil) sont affectés exclusivement à ce service, afin d’assurer une surveillance permanente.  Recrutés avec rigueur, ils sont  formés aux aspects techniques et légaux du métier.

Le service fait partie intégrante du dispatching de la Zone, opérationnel 24h/24.  Les vidéosurveilleurs travaillent en étroite collaboration avec le Chef de Permanence, ainsi qu’avec les dispatcheurs (opérateurs téléphone / radio).

Ceci garantit une efficacité optimale dans la transmission des informations : d’une part, le Chef de Permanence est informé immédiatement des faits en cours dans le champ de vision des caméras, et d’autre part, les vidéosurveilleurs sont avisés en temps réel des appels d’urgence arrivant au dispatching.

Les images sont enregistrées en permanence, et sont systématiquement mises à la disposition de la Justice.

MATERIEL MIS EN PLACE

Sur le terrain :

46 caméras de type « Speed Dome PTZ » :

• Rotation sur 360°.
• Zoom optique 32 x, numérique 12x.
• Vision nocturne par infrarouge.
• Images en haute-définition.
• Stabilisation électronique de l’image.
• Patrouilles automatiques programmées par les opérateurs : les caméras tournent en permanence afin de sécuriser au mieux l’espace public. Les opérateurs peuvent reprendre le contrôle manuel à tout moment via les deux joysticks.
• Masquage privatif dynamique, permettant de cacher les zones privées.

Le réseau de transmission est de type hybride : il utilise à la fois la technologie sans-fil (par faisceau hertzien), et la technologie filaire (coaxial, UTP/FTP, fibre optique).

La Zone de Police est propriétaire du réseau, qui est entièrement sécurisé : aucune connexion à un réseau extérieur, et clés de cryptage à tous les niveaux.

La conception du réseau rend son extension aisée : l’installation de caméras supplémentaires est envisageable à tout moment, et est régulièrement étudiée.

De plus, la zone s’est dotée, depuis 2021, de cinq caméras fixes temporaires.  Celles-ci peuvent être installées à tout moment sur n’importe quel type de support (pylône électrique, rambarde de balcon, etc.)  La qualité de ces caméras est identique aux caméras fixes, et la transmission des images est possible en direct vers le dispatching police.  Ceci permet de déployer rapidement une vidéoprotection en cas d’incident majeur, d’opération spéciale, de rassemblements, …

Au dispatching :

• Mur vidéo composé de quatre écrans plats de 47 pouces (120 cm de diagonale), qui permettent aux opérateurs de montrer directement les images d’un fait en cours aux responsables du dispatching.
• Plan de travail composé de quatre écrans de 19 pouces (49 cm de diagonale), devant les opérateurs de vidéosurveillance. En plus de l’affichage des images en direct, ces écrans servent également au travail administratif : rédaction des dossiers, visualisation et sauvegarde d’enregistrements, encodage d’informations dans la base de données, etc.
• Liaison vidéo vers la salle de réunion principale de l’Hôtel de Police, au niveau de la direction de la zone.
• 2 consoles professionnelles, avec joystick et clavier, permettant aux opérateurs de prendre instantanément le contrôle de n’importe quelle caméra en temps réel, et de prendre des photos en direct.
• 2 PC équipés avec le logiciel « Genetec Security Center », référence mondiale en matière de vidéosurveillance professionnelle. Ces deux PC permettent notamment d’afficher les murs d’images sur l’ensemble des écrans.  L’opérateur peut à tout moment décider d’adapter l’affichage d’une caméra en plein écran, si les circonstances l’exigent.
• 1 PC « ISLP » (Intergated System for Local Police) avec connexion directe aux bases de données de la police : DIV (immatriculations), RN (registre national), etc.
• 1 PC « Internet », permettant notamment d’accéder aux données de cartographies en ligne (WalOnMap, Google Earth, Google Street View, etc.)
• L’accès au dispatching est sécurisé par badge d’accès électronique. Seules les personnes autorisées peuvent accéder au local, conformément à la législation sur la protection de la vie privée.

Bon à noter : afin de respecter la législation en vigueur, une signalétique (panneaux routiers) informant de la présence d’un système de vidéosurveillance a été mise en place à tous les points d’accès principaux de la Zone (sorties d’autoroutes, routes nationales, frontière,...)

Une technologie de pointe en constante évolution,

au service de la Sécurité.

L'usage de l'outil cartographique va donc permettre deux choses. La première est de permettre de réagir rapidement et de manière opérationnelle à l'évolution quotidienne de la délinquance. La seconde est de permettre d'orienter et de diriger les actions de police.

Cartes de localisation des faits, cartes de densité, ... sont distribuées de manière régulière aux différents services de la Zone pour un gain en efficacité et en rapidité.

En mai 2003, le Collège de Police décidait de proposer la restauration des stands au Conseil de Police qui en acceptait le principe. Ce chantier concernait 4 postes importants, à savoir:

Des travaux de gros œuvre de démolitions et la réalisation des bétons de sol;

Des travaux de chauffage et de ventilation à air pulsé;

Des travaux de placement de deux pièges à balles et de protection des murs et des sols;

Et enfin des travaux électriques conséquents dont notamment des éclairages spécifiques par rhéostats qui assurent des ambiances particulières.

C’est ainsi qu’en avril 2004, notre Zone de Police possédait deux stands de tir de 25 mètres de long permettant le tir sans danger de retour de projectiles pour tous les calibres en usage dans les services de police.

Outre les tirs en mode statique ou de progression sur cibles fixes, nos deux stands présentent d’autres possibilités de tir.

Le tir sur le système de ciblerie électronique. Il s’agit de cibles mobiles articulées télécommandées avec temporisation et apparitions réglées électroniquement.

Le tir sur le système informatique laser. A la pointe du réalisme, ce matériel constitue un atout considérable pour la formation des policiers. Ce simulateur de tir laser hyper sophistiqué utilise des scénarios vidéo interactifs.

Ces stands, ainsi que le matériel dont ils disposent, permettent d’initier, d’entretenir et de parfaire les connaissances du policier en matière de manipulation et d’utilisation d’une arme à feu individuelle ou collective.

Tous ces entraînements et exercices permettent d’insister également sur l’utilisation exceptionnelle de l’arme à feu lorsque toutes les autres possibilités ont été utilisées et ce, conformément à la loi sur la fonction de police et la légitime défense. Dans la mesure du possible, l’usage de l’arme à feu restera toujours l’ultime réaction, le dialogue étant la solution privilégiée.

En mars 2006, la circulaire GPI48 relative à la formation et l’entraînement en maîtrise de la violence des membres du personnel du cadre opérationnel des services de police introduit le concept de la maîtrise de la violence.

La maîtrise de la violence fut dès lors considérée comme une science policière destinée à permettre au policier confronté à une situation de danger ou potentiellement dangereuse de pouvoir l’aborder et la contrôler avec un maximum de sécurité et de la résoudre de la manière la moins violente.

• Des normes minimales d’entraînement, des niveaux de compétences et des normes d’encadrement ont été définies et donc trois domaines de formation ont été imposés, à savoir:
• Celui des techniques d'intervention;
• Celui des aptitudes physiques de contrainte sans arme à feu;
• Celui des aptitudes physiques de contrainte avec arme à feu.

La circulaire GPI62 de février de cette année prévoit l’armement de la police intégrée structurée à deux niveaux, à savoir l’armement individuel, collectif et particulier.

Outre le pistolet semi-automatique de calibre 9 mm, le fonctionnaire de police porte un bâton de police et un moyen incapacitant.

L’Agent de Police ainsi que certains membres du cadre administratif et logistique peuvent également être équipés d’un moyen incapacitant.

Vous comprendrez aisément que l’entraînement à l’arme à feu n’a plus le monopole. Il est impératif de mettre sur pied des formations pour l’utilisation du spray et du bâton de police afin de respecter les termes des circulaires.

C’est pourquoi le Conseil de Police du 22 novembre 2006 décidait la construction d’une infrastructure attenante à notre stand de tir. Ce bâtiment, d’une superficie de 200 m², est composé d’une salle d’entraînements avec revêtement de sol adapté, de vestiaires, de douches, d’une salle de théorie et d’un atelier pour entreposer le matériel et les différents équipements utilisés dans les stands de tir.

Ce marché passé par adjudication publique verra le Conseil de Police désigner l’entreprise Favier pour un montant de 250 000 €. Les travaux débutaient en octobre de l’année dernière et viennent juste de s’achever. Le bureau d’architecture Alland – Godimus a assuré la maîtrise d’ouvrage.

N’en déplaise à d’aucun, le Centre de Formation de la Police Boraine est né. Ce complexe situé entre la piscine communale et les infrastructures footballistiques du BOUSSU DOUR BORINAGE accueillera dorénavant le fonctionnaire de police durant une journée entièrement dévolue à la formation et à l’entraînement.

Cette journée lui permettra de réviser les législations afin d’avoir notamment toujours en mémoire le respect du cadre légal et déontologique. Ensuite, il abordera un entraînement physique avec l’usage du bâton de police et du spray incapacitant.

Le tir avec les armes à feu sera également au programme tout comme les exercices de technique d’intervention et de contrôles routiers. Notre service des Ressources Humaines met sur pied, pour un avenir proche, une formation de conduite des cyclomoteurs à l’attention des policiers affectés dans les services de proximités.

Du matériel didactique de qualité équipe ces nouvelles installations afin de pouvoir dispenser, en interne, des cours de droit et de procédure pénale, des cours sur les législations afférentes au roulage, à l’environnement, à la déontologie; des matières telles que le règlement général de police, la gestion de l’information judiciaire, la rédaction des P.V. et le Community Policing.
De surcroît, ce Centre de Formation ne pouvait être mieux situé. Il donnera l’occasion au fonctionnaire de police de se déconnecter de son environnement habituel de travail pour se concentrer au perfectionnement des diverses techniques en maîtrise de la violence mais également pour entretenir sa condition physique en pratiquant soit de la natation, de la course à pied, des sports de ballon ou du V.T.T. ; tout cela au départ d’un seul site.
Ces installations autrement performantes seront bien évidemment, comme par le passé, accessibles aux services de police voisins sur base d’une location pendant les plages horaires restées libres.
Le Centre de Formation de la Police Boraine est, un outil de qualité pour une police locale moderne qui n’a d’autre volonté que d’être toujours plus performante, plus professionnelle en ayant surtout le perpétuel souci de toujours s’améliorer et innover pour assurer un meilleur service au citoyen.

De plus, notre zone de Police a acquis récemment 8 GLOCK 17 simunition, cette arme d’entraînement nous donne la possibilité de faire travailler nos policiers en situation réelle avec un maximum de sécurité. Grâce aux protections : casque, lunette et gants, le simunition nous ouvre un éventail de possibilités d’exercice. Contrairement à l’utilisation de l’arme à feu réelle sur le pas de tir ou du GLOCK Laser au video tir, le GLOCK simunition  nous permet de travailler à 360 degrés horizontalement et verticalement sans prendre le moindre risque. Le simunition nous permet également de préparer psychologiquement nos policiers à faire feu sur un TARGET réel et ce sans aucun danger pour le moniteur qui joue ce rôle.

Pour clôturer, le GLOCK simunition sera utilisé en fin de cycle d’entraînement de la GPI 48 car c’est l’étape ultime qui met en exergue les principes de tir tant du stand de tir que du vidéo.

Quelques photos

Ce nouvel outil pédagogique est essentiellement destiné aux enfants des classes de 5ème et de 6ème années primaires.Par ce biais, l’enfant aborde différentes thématiques telles que la sécurité routière, l’environnement, l’enquête policière et bien entendu le quotidien de tout policier de terrain.

Le but

Cette Camionnette Ludique d’apprentissage permet à l’enfant de vivre en  équipe » des activités pédagogiques visant des notions de citoyenneté et de respect avec, comme toile de fond, le beau métier de policier dont beaucoup d’entre eux rêvent

La mise en pratique proposée aux enfants

Cette Camionnette Ludique d’Activités Policières va permettre à l’enfant d’aborder en équipe des notions fondamentales dans l’exercice de la fonction de policier telles que le respect et la citoyenneté.

Afin d’atteindre ce noble objectif, huit activités sont proposées aux enfants, toutes à partir du C.L.A.P., et ce sous l’égide de policiers professionnels :

CLAP 3 : Vivre des patrouilles motorisées dans la cabine de la camionnette, missions émaillées d’incidents et dictées par des appels radios émanant d’un moniteur situé à l’arrière du véhicule qui contrôle en permanence le déroulement du jeu.

CLAP 4 : Relever tout élément permettant d’identifier l’auteur d’un fait qualifié d’infraction, dans une problématique liée à l’environnement, par le biais d’un dépôt sauvage.

CLAP 5 : Détecter tout agissement suspect et les infractions de roulage via un diorama (maquette urbaine interactive).

CLAP 6 : Etre à même de corriger un procès-verbal et être attentif à l’orthographe avant de le transmettre au Parquet.

CLAP 7 : Déterminer le matériel adéquat à emporter pour effectuer une patrouille motorisée.

CLAP 8 : Suite à l’interception d’un véhicule ayant servi à commettre un vol à main armée, pouvoir relever sur les lieux du fait, les indices devant permettre d’identifier le ou les auteur(s).

CLAP 9 : Approcher la gestion de la sécurité routière en se rendant sur la piste de circulation et en réglant la circulation.

CLAP 10 : Vivre un service d’entrainement de tir par le biais du tir laser

La fiche technique du véhicule

Type de véhicule : VW T5 Caravelle
Longueur : 4 m 90 – Largeur : 1 m 95 – Hauteur : 1 m 99
Motorisation : 2.5 Turbo Diesel
Deux portes coulissantes latérales
Véhicule strippé à moitié sur sa longueur (véhicule moitié police – moitié banalisé)
Placement d’un ancrage sur le capot ainsi que sur le toit afin de pouvoir placer le cadre de la télévision de 55 pouces (1m35) positionnée devant le pare-brise.
Vitres latérales avant teintées. Une bâche est positionnée pour isoler les occupants de la cabine de pilotage du monde extérieur.
Une paroi insonorisée est installée entre la cabine et les compartiments centraux.
L’intérieur du véhicule est divisé en deux grands compartiments afin de proposer plusieurs activités policières.
Deux webcams dans la cabine pour visualiser les réflexes et le comportement des enfants.
Un avertisseur sonore et des feux bleus leds à l’intérieur de la cabine.
Une moitié de rampe bleue placée sur le toit.
Un emplacement technique à l’arrière du véhicule pour stocker le matériel informatique et multimédia (lecteurs CD et DVD).
Deux radios vocales.
Divers interrupteurs ainsi qu’une commande permettant aux enfants d’activer le feu bleu et l’avertisseur sonore dans la cabine.

Quelques photos

Il s’agit d’un véhicule utilisé essentiellement pour les services d’ordre.

Toutefois, il peut également servir de commissariat décentralisé en cas de descente du Parquet, lors de reconstitutions ou de grosses catastrophes.

Caractérisés par une rapidité et une instantanéité de l’information, les réseaux sociaux ont pris une place importante dans notre société.

C’est dans ce contexte que notre Zone de Police est présent sur Twitter depuis des mois et vient de créer sa propre page Facebook.

 Depuis un an, le service jeunesse de notre zone est actif sur Facebook via sa page « BORICE JEUNESSE ». Nous avons pu constater qu’en plus des matières relatives à la jeunesse, un nombre important de questions générales étaient posées en messages privés.

Il nous est dès lors apparu intéressant de créer une page Facebook qui puisse traiter de sujets plus larges. Elle nous permettra aussi de toucher un public différent et d’informer rapidement les abonnés à propos de l’actualité de la Zone ainsi que des thèmes concernant la police.

Dès à présent rejoignez-nous sur www.facebook.com/policeboraine ou en tapant « Zone Boraine » sur Facebook. Nous serons heureux de vous y retrouver nombreux.

Facebook Jeunesse

Toujours à l’affût d’une bonne idée pour être encore plus proche de la population et à son écoute, la Police Boraine et plus particulièrement son Service Jeunesse vient de créer sa page Facebook. Dédiée aux jeunes et aux problèmes auxquels ils peuvent être confrontés. Son objectif est clair :
apporter, en temps réel, diverses informations et conseils.

A qui s'adresse cette page ?

En priorité aux adolescents, cependant, après quelques semaines de pratique, on constate qu’elle est également consultée par des familles. Des personnes d’âges et d’horizons différents qui recherchent diverses informations psychosociales, juridiques, les coordonnées d’associations, mais également des renseignements sur les différents événements organisés par notre Zone de Police ; sans oublier les avis de recherche des personnes disparues dans notre région et une multitude d’autres renseignements très utiles …

Lancée le 19 mars 2012 dernier, la page intitulée « Borice Jeunesse » connaît déjà un franc succès puisque que notre renard compte déjà de nombreux amis.
Parmi ceux-ci on trouve bien entendu des jeunes mais également leurs parents, des enseignants et des policiers.

Pourquoi avoir crée cette page ?

« Pas moins de 4 000 000 de Belges sont inscrits sur Facebook et la plupart des ados et jeunes adultes y sont présents et y passent quotidiennement de nombreuses heures. Il nous a donc paru judicieux d’y être également afin de parler aux jeunes via un de leur moyen de communication favori » explique Marie VANNUFFELLE, Assistante Sociale.

Quelles informations y trouve-t-on ?

Principalement des articles d’actualité évoquant des thèmes susceptibles d’intéresser le public cible : l’anorexie, le harcèlement à l’école, les numéros de téléphone d’urgence, …

Qui se cache derrière cette page ?

Les membres du Service Jeunesse de la Police Boraine à l’initiative du projet et plus particulièrement une assistante sociale et un Inspecteur de Police ayant une formation en tant qu’éducateur. Soit 2 personnes qui chaque jour côtoient dans leur travail des jeunes en difficultés et leur famille.

Y a-t-il un feedback ou une analyse de l'utilité de cette page ?

Il est tout d’abord essentiel de préciser qu’il n’y a aucune censure. C'est-à-dire que les commentaires postés sur cette page ne doivent pas être validés par la Police avant d’être publiés. Chacun est libre d’y exprimer son opinion toutefois les messages à caractère raciste, homophobe, insultant… ne seront pas tolérés.

La plupart des commentaires publiés à ce jour l’ont principalement été pour obtenir plus de renseignements sur un article publié ou pour demander un conseil.
« Après pratiquement 2 mois d’existence, nous sommes plutôt satisfaits du résultat et des retours que nous en avons mais nous avons prévu une évaluation de son utilité et de sa pertinence pour la fin de l’année. D’ici là nous sommes bien entendu ouverts à toute suggestion qui nous permettrait de faire encore plus évoluer ce projet de façon à répondre aux attentes de tout un chacun » déclare l’Inspecteur David TOURNAI.

Rejoignez-nous sur www.facebook.com/servicejeunesse5327 ou en tapant directement sur Facebook : Borice Jeunesse

A l’origine, l’écoute

Parce que nous sommes conscients que pour rester performants nous devons réajuster constamment notre stratégie aux fluctuations extrinsèques, nous nous sommes penchés attentivement sur les statistiques 2005 du 0800 de la Police Boraine.

Interagir, réagir, être écouté, autant de choses qui tiennent à cœur de nos citoyens.

En effet les agents de quartiers représentent à eux seuls 72% des appels au numéro vert (199 communications/mois). Viennent ensuite loin derrière, les appels destinés à la direction, au recrutement, les absences prolongées et l’environnement.

Une arborescence réajustée

Sur base de cette analyse, nous avons réajusté la stratégie relative au numéro vert ainsi que son positionnement. Ce qui se traduit par l’arborescence suivante :

1 – Agent de quartier

2 – Environnement

3 – Infocrime

4 – Recrutement

Une étape de plus dans l’interaction

Parce que réajuster l’arborescence est un point de départ nécessaire, mais pas suffisant, nous sommes allés une étape plus loin en mettant en place un outil d’appel à témoins. Un numéro gratuit et totalement confidentiel qui permet aux citoyens d’interagir plus encore avec la Police Boraine.

Pourquoi était-ce nécessaire ?

Parce que les gens sont animés par des sentiments paradoxaux voire antagonistes. D’une part, ils souhaitent vivement prendre une part plus importante dans la vie civique et aider dans la mesure de leurs connaissances à réduire l’insécurité. Et d’autre part, ils sont parfois isolés, n’ont pas le temps ou les moyens de se déplacer, et ont peur des représailles. Bref, une situation qui, sans un petit coup de pouce pourrait rester au statut quo.

Quelle est notre stratégie ?

Notre stratégie pour débloquer cette situation est d’offrir à ces personnes un moyen gratuit, accessible de partout et 100 % confidentiel pour fournir des renseignements sur des faits parus dans la presse et faisant référence au numéro vert. Des policiers disponibles 24h/24 et rodés aux techniques d’audition vont tenter de recueillir un maximum d’informations. Les données ainsi collectées sont analysées et transmises aux enquêteurs en charge de l’affaire.

Résolument tournée vers l’avenir et les nouvelles technologies, la Police Boraine a récemment fait l’acquisition d’un drone. Elle devient dès lors la première police du Hainaut à acquérir et utiliser cet outil de surveillance. Bien plus qu’un jouet il s’agit du partenaire idéal lors de certaines patrouilles, surveillances de sites et interventions policières.

Pourquoi cet achat ?

Le drone est un condensé de technologie, un outil multifonctions qui peut s’avérer très utile dans nombreuses de nos missions.  Il peut être utilisé pour le travail d'enquête, le maintien de l'ordre, pour rechercher des personnes disparues ou réaliser des photos aériennes.  De plus, il permet de réagir très vite et en toute autonomie, sans attendre le décollage d'un hélicoptère dont le coût est bien plus élevé.

L’Investissement financier et humain

Le prix de l’appareil sélectionné par la ZP Boraine s’élève à pratiquement 25 000€ .Un coût certes élevé mais qui, nous en sommes convaincus, en vaut la peine ! Et quitte à investir autant le faire correctement et avec du matériel de qualité !

Quant à la formation suivie par les pilotes, il ne s’agit pas d’une sinécure.  Elle nécessite une implication totale de la part des élèves, comporte des cours théoriques et pratiques et s’étale sur plusieurs semaines à l’issue desquelles l’élève pilote passe un examen afin d’obtenir son brevet. Cette formation est destinée à usage professionnel des drones.  Elle est principalement suivie par des caméramans pro, des policiers mais aussi par des agriculteurs, des géomètres, …

LA Création « d’un team drone »

Cette petite merveille de technologie au vu de son coût et de la complexité de son maniement ne peut être utilisée que par des pilotes brevetés.  C’est pourquoi, notre Zone a créé un « team drone », des personnes déjà férues de pilotage en tout genre et qui se sont portées volontaires pour rejoindre la nouvelle équipe.

Cette dernière est actuellement composée comme suit :

• Un chef de service en la personne d’un Inspecteur Principal qui lors de ses temps libres a pour habitude de piloter des ULM.
• 2 pilotes formés et brevetés.  Tous deux Inspecteurs de police et passionnés d’aviation en tout genre.
• 2 cadreurs, membres civils de la Police Boraine, l’un possédant des drones pour un usage privé et l’autre vidéaste amateur.

L’outil

Le modèle sélectionné par nos soins s’appelle l’OnyxStar Xena-Px.  Ce bijou présente les caractéristiques suivantes :

• Configuré tel que nous l’avons choisi, il pèse +/- 6 kg.
• 8 moteurs en configuration coaxiale soit 2 moteurs sur chacun des bras en carbone qui sont au nombre 4.  Les bras et les hélices sont pliables pour prendre moins de place une fois l’appareil rangé dans sa valise de transport.
• Liaison vidéo permanente grâce aux caméras embarquées : une « normale et une thermique.  Possibilité de filmer mais également de faire des photos.
• 2 télécommandes : une pour le pilote et une pour le cadreur-caméra, toutes deux équipées d’un récepteur à haute résolution pour une image d’une qualité incomparable.
• L’appareil est très stable et peut supporter des rafales de vent allant jusqu’à 80km/h.  Sa vitesse maximale est de 80km/h et même si la législation en vigueur limite la hauteur de vol à 90m, l’OnyxStar peut facilement monter à plus du double.
• Il est équipé d’une carte SIM afin d’être géolocalisé en cas de perte de contrôle.
• L’autonomie d’une batterie est d’environ 20 minutes.  Notre drone en possède 12, de quoi voler quelques heures…

un drone pour quelles missions ?

Le drone sera utilisé dans le cadre des missions suivantes :

• Police administrative
• Police judiciaire
• Gestion de foule
• Gestion négociée de l’espace public
• Circulation routière
• Situation de péril grave
• Sécurité publique

Dans ce cadre et plus concrètement, l’équipe drone de la Police Boraine sera sollicitée lors d’évènements et festivités (Summer Festival, Pucelette, …) , diverses manifestations, des disparitions inquiétantes ou des fugues, pour la reconnaissance et l’observation en vue de certaines opérations judiciaires, pendant les services d’ordre, pour la prise d’image ou la prises de mesures lors de certains incidents et bien entendu pour l’entraînement des pilotes.

Complexité d’utiliser un drone

Au-delà du savoir-faire, utiliser et manœuvrer correctement un drone implique également la connaissance et l’interprétation de nombreux paramètres indépendants du pilote.

En effet avant chaque vol, l’équipe drone doit non seulement s’assurer de la qualité du matériel utilisé,  vérifier que les batteries soient bien chargées, … mais ses membres doivent aussi consulter diverses sites pour s’assurer de conditions météorologiques favorables, analyser le lieu à survoler (vol à vue possible, présence d’obstacles, …), réception suffisante des satellites, …

On le comprend le drone de la Police Boraine ne sera pas systématiquement utilisé.  Chaque sortie fera l’objet d’une analyse : quels sont les besoins de terrain, qu’apporterait l’utilisation du drone dans cette situation (atouts et faiblesses), une équipe pilote/cadreur est-elle disponible, les conditions météo sont-elles propices au vol, …  Première véritable sortie programmée : la surveillance du site du Summer Festival.

LE PARRAINAGE REPRÉSENTE

• Un fantastique projet de prévention visant à rapprocher la jeunesse et la police;
• Une occasion unique d’inculquer, dès à présent, aux enfants des bases solides qui leur seront utiles pour devenir des citoyens responsables;
• Par la voix des enfants, toucher leur entourage pour relayer des messages précieux;
• Une magnifique opportunité pour les policiers d’aller à la rencontre des adultes de demain

Nous désirons approcher les enfants avant leur entrée dans le secondaire. Douze ans est un âge charnière dans la compréhension du concept de civisme à savoir les droits et les devoirs de chacun, le principe de citoyenneté, ainsi que le respect des biens et des personnes. Les parrains et marraines sont des policiers issus de toutes les fonctionnalités de notre Zone de Police.

DÉROULEMENT DU PARRAINAGE

A la Police Boraine, on mise depuis longtemps sur les enfants et leur grande capacité d’apprentissage et d’adaptation.
Les élèves, issus des 5 communes de la Zone de Police, rencontrent à 5 reprises leur policier-parrain afin d’aborder plusieurs thématiques, de briser les tabous et d'ouvrir le dialogue entre la police et la jeunesse.

PROGRAMME DE L'ANNÉE

1. Les rencontres thématiques

Au programme, trois rencontres entre les parrains et les enfants auront lieu en classe :
La première rencontre (en octobre/novembre): chaque parrain se présente à la classe et instaure un climat de confiance. Le policier y aborde le thème de la sécurité routière. Les points abordés sont plus particulièrement les situations que l’enfant peut rencontrer sur le chemin de l’école ou dans ses activités. C’est lors de ce premier contact que la magie doit opérer.

La seconde rencontre (en novembre/décembre) : les parrains répondent aux questions     suscitées lors de la 1ere visite et abordent les thématiques suivantes: la citoyenneté, la violence  dans et aux abords de l’école,  les numéros d'urgence à connaître (100, 112, …) et la sécurité sur  internet.

La troisième rencontre (en janvier/février) : les parrains répondent aux questions     suscitées lors de la 2ème visite et abordent la thématique de l’environnement (l’influence du COVID-19 sur la nature,  le respect du cadre de vie, le recyclage des déchets, NAC, maltraitance animale,...) et présentent également le service Environnement de la Zone.

2. Visites

La quatrième rencontre (1/2 journée en mars/avril) offre la possibilité aux classes de venir visiter le commissariat du parrain et de faire connaissance avec les autres membres du personnel. Cette visite permet aux élèves de voir concrètement ce qu’est le travail de policier.

 La fête de clôture

Cette journée comprendra de nombreuses activités et des démonstrations réalisées au sein de différents stands interactifs. Chaque enfant sera amené à tester ses aptitudes tant physiques que mentales.
Ce sera aussi l'occasion pour les enfants de découvrir le métier de policier sous ces différents aspects et de solidifier la relation de confiance et de respect initiée par le parrainage.

Cette fête de clôture se déroulera les 21 et 22 avril à l'Espace Magnum situé à Colfontaine.

INFOS PRATIQUES

La participation à ce projet est totalement gratuite.

Pour les écoles ne possédant pas de transport propre, notre Zone de Police dispose de partenaires afin de véhiculer votre ou vos classes (Administrations communales, TEC,…)

Les auditions de mineurs se font avec une approche spécifique qui prend en compte les divers paramètres liés au statut particulier de la personne interrogée, c'est-à-dire en fonction de son âge, son développement cognitif, émotionnel, affectif, linguistique qui peut varier très fort d’un individu à l’autre (question de maturité). Il est à signaler que les personnes handicapées peuvent aussi être auditionnées de cette manière.

Pour ces raisons, il est obligatoire que le personnel qui auditionne soit qualifié et qu’il ait reçu la formation adéquate. Lors de ces enregistrements, d’autres personnes peuvent être présentes. L’expert psychologue désigné par le Parquet dans le but d’analyser la crédibilité du témoignage et de fournir à l’autorité tout renseignement
susceptible de l’éclairer sur la personnalité de l’enfant. Secondement, le mineur peut être accompagné d’une personne dite de confiance. Cependant, malgré la présence éventuelle, ces personnes n’ont pas le droit d’interférer au déroulement de l’audition.

Le fait d’instaurer des auditions vidéo-filmées permet d’éviter de multiplier les auditions et de restituer fidèlement la parole de l’enfant, l’objectif étant de diminuer l’effet traumatisant et de ce fait, amoindrir les risques de victimisation secondaire.

De plus, elle permet d’éviter la confrontation avec l’auteur supposé.

Toutes ces notions nous ont incité à créer au sein de notre zone ce local afin d’optimiser le service au citoyen.

Pourquoi était-il important d’avoir un local d’auditions vidéos-filmées au sein de notre zone de police ?

Notre zone depuis sa création, et ce en symbiose avec les principes directeurs de la réforme des polices a toujours mis en avant un service de proximité pour le citoyen.
L’aménagement de ce local s’inscrit dans cette logique.

Selon nous, cette initiative permettra aux personnes convoquées d’être moins perturbées par le fait qu’elles sont entendues en un lieu qui ne leur est pas inconnu.

Une salle d’attente propre au service jeunesse jouxte le dit local. Ceci permet aux familles et aux enfants d’attendre en toute discrétion. Un coin « jeu » y est aménagé pour les plus petits.

De plus, nous mettons à la disposition de la famille de la victime, notre assistante sociale lors de l’audition de leur enfant. Elle est à leur écoute et leur apportera soutien, informations et orientation.

Et enfin, le fait d’avoir ce local aménagé à proximité ne peut signifier qu’un gain de temps, et pour les victimes, et pour les policiers de notre service et nous permet d’échapper aux délais trop importants inhérents à la réservation d’un local d’une autre police. De plus, la circulaire insiste sur le fait que le mineur doit être auditionné le plus près de son domicile.

Présentation Senior Focus pour le site internet de la Zone

LE CONCEPT

La Zone de Police Boraine est attentive, depuis de nombreuses années au sort des personnes âgées et aux problèmes qu’elles peuvent rencontrer:

Lors de la disparition ou en cas de malaise d’une personne, la recherche rapide et active d’informations est primordiale, voire même vitale. L’expérience de terrain nous a convaincu de la nécessité de pouvoir agir immédiatement lors de ces 2 cas de figures.

Si le citoyen vit seul, la tâche s’avère plus ardue pour rassembler les premiers renseignements nécessaires. De même, l’entourage n’est parfois pas en mesure de communiquer l’ensemble des éléments utiles par méconnaissance ou submergé par l’émotion de la situation.

Suite à ce constat, nous avons élaboré un questionnaire détaillé. Celui-ci sera conservé dans une boite hermétique de couleur jaune fluo dans la porte du FRIGO.

Ce lieu n’est pas anodin. Il s’agit d’un électroménager que tout le monde détient.

Il était très important qu’il y ait une cohérence, une uniformité au niveau de l’endroit afin de faciliter le travail des premiers intervenants.

Ceux-ci seront avertis de la présence de la boite grâce à un autocollant coloré placé sur ou à proximité du frigo. Chaque personne de 65 ans et plus, bénéficiera de cette boite, du questionnaire et de l’autocollant.

COMMENT OBTENIR LE KIT « SENIOR FOCUS »?

Votre commissariat de quartier sera heureux de vous accueillir chaque jour ouvrable de 11 à 12h et de 14 à 15h ou sur rendez-vous (par téléphone, via le site internet de la Zone ou l'application mobile Bor'app)

Vous pourrez y retirer votre kit « senior Focus » ou celui de vos parents sur base de leur carte d’identité.

Pour toute information : 065/619.890

Ce kit est totalement gratuit pour les citoyens de la Zone de Police Boraine. N’acceptez jamais de le payer.

Missions

Les missions qui sont attribuées à cette unité sont diverses et appréciées au cas par cas par le responsable du service. Nous pouvons citer, pour exemple et entre autres :

• Appui aux différents services (Service de Recherches, Interventions, Proximités …)
• Contrôle d’établissements suspects ou dangereux
• Reconstitution
• Perquisitions dans des lieux à problèmes
• Visites domiciliaires à risques .
• Exécution de mandats d’arrêt ou d’amener d’individus dangereux
• Fouille et sécurisation de bâtiments
• Gestion d’actes criminels en cours
• Transfert de détenus dangereux

Composition et capacités.

Ce groupe est composé de treize fonctionnaires de police expérimentés et sélectionnés au sein
des différents services de la zone de police. Ils sont entraînés très régulièrement en collaboration avec l’appui des unités spéciales de la Police Fédérale et équipés de matériel fonctionnel et performant, tant au niveau des équipements que des véhicules ou de l’armement.

La plupart de ses membres sont soit moniteurs de tir, de techniques et tactiques d’intervention, d’arts martiaux ou de bâton de police, soit spécialisés en conduite rapide de véhicule, tir de précision, gestion des événements ou de maîtrise de la violence.

Quelques photos

Un véhicule multifonctions

Conçu pour être ouvert et accessible, ce véhicule est utilisé sur les marchés, lors d’événements de quartier, des salons, dans les écoles en renfort de la piste de circulation … Il est notre vecteur de communication et ne passe pas inaperçu !

Il a en effet été imaginé dans un concept novateur, auquel le traditionnel « stripping » police ne convenait pas. Nous souhaitions que l’apparence de ce commissariat mobile surprenne et marque les esprits tout en lui donnant un visage « plus humain ». C’est pourquoi, il est entièrement recouvert de photos illustrant les différentes facettes du métier de policier. Nous voulions mettre l’accent sur la diversité et la richesse des hommes qui constituent notre police. Les « mannequins » sont en effet tous membres de la Police Boraine.

Toujours dans une optique de proximité et d’accessibilité, son flanc gauche peut être entièrement ouvert sur le monde extérieur de façon à accueillir une exposition, la projection d’un film destiné au recrutement, un cours sur la sécurité routière, … ou tout simplement accueillir des passants.

Un bureau a aussi été aménagé dans le véhicule, séparé du reste de l’habitacle par 2 portes vitrées, il permet d’être à l’écoute des citoyens en toute intimité.

Un investissement de 130 000 euros qui en vaut la peine !

Plus qu’un véhicule, cette version modernisée du commissariat mobile est un véritable outil de rencontres.

Equipé d’appareils hi-fi de haute technologie permettant la diffusion de messages audiovisuels, ce véhicule sillonne les routes de notre Zone.

Quelques photos